[Article de fond] Les femmes à travers l’Histoire
Assez bizarrement, la question de l’égalité femmes / hommes revient très régulièrement au centre des débats.
Et ce genre de « truc » n’y est certainement pas pour rien:
Ou encore « ça »:
(J’ai flouté le nom des marques, le but n’étant pas de pointer du doigt telle ou telle enseigne, mais de parler d’un phénomène de société…)
Il est aussi étonnant de constater que les mouvements féministes ne défendent plus seulement la condition de la femme mais se politisent, perdant du même coup une certaine lisibilité. Pourquoi se mettre seins nus pour marquer son opposition à une décision, ou un mouvement politique? Bizarre. Ce genre de choses m’a toujours laissé perplexe.
Mais bon, la politique, c’est pas vraiment mon truc. On va donc plutôt aborder le sujet de la condition de la femme selon un angle purement historique et culturel. Vous êtes partant? Alors on y va pour un petit tour d’horizon de la femme à travers les siècles!
(ça va être long, parce que je vais prendre mon temps)
(le sujet mérite bien ça)
Qu’on soit bien clair, la femme a rarement le beau rôle dans la Bible, les mythologies, ou les livres d’Histoire. Qu’on pense à Pandore, Dalila, Médée, Omphale, Judith, Frédégonde, Catherine de Médicis ou même Ève, qui, ne l’oublions pas, croqua le fruit défendu et incita Adam à faire de même! Toutes sont présentées comme des co-connes (au mieux) ou des garces (au pire). Toutes des anti-héroïnes, dont la maladresse, la cupidité ou le caractère manipulateur effrayent autant qu’ils fascinent.
Pas de femmes, pas de nations
Commençons par les bases: la femme est au centre de la reproduction de l’espèce. Ça paraît évident, dit comme ça, mais… pas de femmes, pas de nations.
Romulus l’a bien compris: après avoir tué son frère Rémus, il se retrouve tout seul, avec comme mission de fonder un empire. Un peu comme si on demandait à Robinson Crusoé de développer une civilisation… Pas si facile!
Vous auriez fait quoi, vous, à la place de Romulus? Lui, dans un premier temps, il arrive à rallier beaucoup d’hommes autour de lui, principalement des brigands à qui il promet richesses et vies trépidantes. Mais le problème des brigands, c’est qu’ils sont rarement mariés… Très vite, le manque de femmes dans les rangs se fait sentir et devient très inquiétant pour l’avenir de la cité. Romulus passe donc à l’étape 2: trouver de la gonzesse. Il procède ainsi à l’enlèvement des Sabines, les femmes du peuple voisin (les Sabins).
Horreur et damnation!
Mais faut-il voir ici le comportement d’un peuple barbare désireux de soumettre des femmes à tous leurs désirs? Non, ce serait une grave erreur! Car Tite-Live nous raconte qu’après les avoir enlevées (par la force, certes), Romulus traite les femmes avec les plus grands égards… Il se met même à genoux pour les supplier d’accepter de prendre les Romains pour époux! Ces dernières, bien sûr, accepteront avec plaisir (syndrome de Stockholm, quand tu nous tiens).
C’est même elles qui, plus tard, réconcilieront les deux peuples, comme l’illustre si bien Jacques-Louis David:
Si l’épisode de l’enlèvement des Sabines est célèbre (il inspirera nombre d’artistes à travers les siècles), ce n’est certainement pas un hasard. On touche ici à l’ambivalence des femmes: à la fois femme-objet, réduite à sa simple fonction de procréatrice, qu’on peut voler à son voisin si on le souhaite et femme-épouse, ou femme-mère, que l’on respecte, dont on cherche à s’attirer les bonnes grâces. On constate d’ailleurs souvent l’opposition entre deux figures féminines: celle de l’épouse fidèle, symbole du foyer familial, et celle de séductrice, symbole de la chair et du désir sexuel. Il en va ainsi dans l’Odyssée où Homère oppose la fidèle Pénélope devant batailler ferme pour écarter la convoitise des hommes en l’absence de son mari, et Circé, séductrice aux charmes mortels. Amusant de constater que l’on retrouve cette même opposition deux millénaires plus tard dans la vie du poète Baudelaire, tiraillé entre l’amour platonique de Madame Sabatier et la douce Jeanne Duval à la sensualité enivrante…
Mais n’anticipons pas… On était dans la Rome antique, restons-y. Le pater familias avait alors le ius occidendi, c’est-à-dire le droit de mort sur l’épouse qui l’avait trompé (pour info, c’est l’empereur Auguste qui abrogera la loi). Aïe!
Sparte: un rêve pour les féministes!
Bon, constater les inégalités de traitement entre les hommes et les femmes, c’est bien gentil, mais ça revient (presque) à enfoncer des portes ouvertes. La vraie question, c’est POURQUOI de telles inégalités existent, et j’ai bien une petite idée là-dessus: la protection du patrimoine familial.
J’en veux pour preuve que les sociétés qui nient la propriété privée sont beaucoup plus ouvertes d’esprit de ce côté-là. Bon, ce genre de sociétés, il n’y en a pas 36.000 non plus, la première qui me vient à l’esprit est Sparte. Sparte, c’est un peu une bouffée d’oxygène dans cet océan d’inéquité. À Sparte, les femmes ont du pouvoir, de l’argent, des libertés. Les petites filles sont élevées de la même façon que les petits garçons. Plutarque nous raconte même que, au cas où leur mari n’était pas très costaud ou un peu vieillissant, elles étaient encouragées à l’adultère pour concevoir des enfants plus vigoureux! Le mari trompé n’y voyait aucun inconvénient, et élevait l’enfant comme s’il était le sien…
Cette liberté de mœurs est à des années-lumière de la conception très patriarcale de la grande rivale de Sparte, j’ai nommé Athènes…
À Athènes, les femmes sont cantonnées au gynécée avec leurs enfants. Des pouvoirs, elles en possèdent un, et un seul! C’est Aristophane qui nous en fait part dans son Lysistrata: pour convaincre les hommes d’arrêter de faire la guerre à Sparte, elles organisent… une grève du sexe! Encore une fois, les femmes sont réduites à leurs seuls attributs sexuels…
Pire! Afin de justifier l’hégémonie de l’homme sur la femme, on crée des mythes illustrant à quel point l’émancipation des femmes pourrait être dévastateur pour la société. Il en va ainsi des Amazones, ce peuple de guerrières rejetant tout homme de leur société. Elles ne s’unissent qu’à des étrangers, n’élèvent que leurs filles et passent par l’épée leurs petits garçons. D’une société patriarcale, on passe ici à une société purement féminine se substituant complètement à l’homme. Comme si l’harmonie entre les deux sexes était impossible…
Laissons là l’Antiquité et voyons un peu ce qui se passe depuis la Révolution française…
Les femmes, la Révolution et le Code civil
C’est bien simple: les femmes sont littéralement privées de la Révolution.
(Comme symbole d’unité, de fraternité et tout le tralala, on repassera)
Bon, OK, elles réussissent bien un petit coup d’éclat durant les journées des 5 et 6 octobre 1789. Des femmes se réunissent place de l’Hôtel de Ville à Paris pour manifester contre le prix du pain, devenu bien trop cher. Elles sont de plus en plus nombreuses, forcent l’entrée de l’Hotel de Ville, volent quelques centaines d’armes à feu et se mettent en marche vers Versailles pour aller voir le roi en personne. Après six heures de marche sous la pluie, dans la boue et le ventre vide, elles investissent le château de Versailles. Sous la pression populaire, Louis XVI finira par quitter Versailles et devra s’installer au palais des Tuileries, où le peuple le tiendra plus facilement à l’oeil…
OK, ce coup d’éclat féminin est magnifique, mais c’est l’arbre qui cache la forêt. Les femmes qui souhaitent s’engager politiquement, les Tricoteuses de la Révolution comme on les appelle péjorativement, sont vite remises à leur place. Le droit de vote leur est refusé. À quoi cela leur servirait-il, puisqu’elles sont représentées par leur mari? Olympe de Gouges aura beau s’époumoner et faire de magnifiques discours, ses appels resteront sans réponse…
Bilan de la révolution: aucune avancée majeure, pire! On constate même un recul étant donné que, même si la loi salique leur interdisait le trône, avant la Révolution, elle pouvait au moins assurer la régence… Accéder à des hautes fonctions politiques, c’est maintenant devenu totalement impossible pour elles.
Quelques années plus tard, c’est au tour de Napoléon d’entrer en scène. Si nous feuilletons le code civil de 1804, on y lit des choses assez étonnantes:
Article 229 – Le mari pourra demander le divorce pour cause d’adultère de sa femme
Article 230 – La femme pourra demander le divorce pour cause d’adultère de son mari, lorsqu’il aura tenu sa concubine dans la maison commune.
Et que dire de l’article 213: « Le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari »?
Forcément, quand la supériorité de l’homme sur la femme est inscrite dans la loi, on est mal barrés…
(rassurez-vous, ces articles n’ont plus cours aujourd’hui. L’égalité juridique des hommes et des femmes est enfin obtenue…)
Ce n’est pas un hasard si Madame Bovary, le roman de Flaubert publié en 1856, est attaqué pour outrages aux bonnes mœurs. Ben oui, un bouquin sur le thème d’une femme qui « oublie ses devoirs de mère, manque ensuite à ses devoirs d’épouse et introduit successivement l’adultère et la ruine dans son foyer », ne peut pas être bien accueilli! Gageons que si le roman s’était appelé Monsieur Bovary, il aurait été bien moins critiqué…
Ce qu’on attend de la femme, c’est une certaine forme de passivité, voire de soumission. C’est d’ailleurs en ce sens que l’imaginaire érotique masculin se développe tout au long de l’Histoire de l’Art, et notamment au XIXe siècle…
Pensionnaires du harem exprimant langueur et invitation à la luxure…
Esclaves soumises au despote…
Femme en détresse attendant qu’un vigoureux mâle vienne la sauver…
Vous me direz, les artistes-peintres ne sont pas les seuls à encourager cette vision de la femme! Ajoutez là-dessus une bonne dose de penseurs célèbres misogynes, et vous gagnez le gros lot… Ainsi Rousseau (1712 – 1778) qui soutient dans l’Emile que « toute l’éducation des femmes doit être relative aux hommes. Leur plaire, leur être utile, se faire aimer et honorer d’eux », etc etc. Le manuel du parfait petit connard, en somme, qui n’empêchera pourtant pas Rousseau d’être considéré comme l’un des plus grands penseurs français, un humaniste « éclairé »…
(oui, bon, on a tous le droit à un faux-pas)
Et quand les femmes prennent leur plus belle plume pour écrire de très belles choses, elles le font de façon anonyme ou sous un prête-nom, pour ne pas être censurée… Ainsi Mme de la Fayette qui publie anonymement sa Princesse de Clèves (1678), par exemple. Car oui, on se méfie des bas-bleu (nom donné péjorativement aux femmes de lettres) comme de la peste! Quand on ne se moque pas tout simplement d’elles, comme Molière le fait si bien dans Les Femmes savantes (1672)…
Du XVIIe au XIXe siècle, donc, on confirmera que le rôle de la femme est d’être à la disposition de l’homme au pieu comme derrière ses fourneaux. Maigre lot de consolation, la femme est sublimée, réifiée.
(mais ça lui fait une belle jambe)
Et la religion dans tout ça?
Je vais peut-être vous surprendre, mais l’Église judéo-chrétienne a joué un rôle très positif dans l’émancipation de la femme. Certains détracteurs me contrediront en citant des passages de l’Ancien Testament. Je ne peux pas entièrement leur donner tort, il est clair que la Bible, et particulièrement l’Ancien Testament, sont ouvertement misogynes. Comme cet extrait du chapitre I de la première épître aux Corinthiens rédigée par Saint-Paul: « L’homme ne doit pas se couvrir la tête, puisqu’il est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l’homme. »
Des exemples comme ça, y’en a plein. Mais, dans l’ensemble, le Nouveau Testament est une véritable bouffée d’oxygène (par rapport à l’Ancien Testament, j’entends). La femme n’est plus seulement une monnaie d’échange ou une matrice destinée à faire perpétuer la lignée. Elle est, aux yeux de Dieu, l’égal de l’homme.
Ça, c’est dans les textes… Mais l’Église catholique met également en pratique cette « égalité » hommes/femmes en créant des ordres mixtes, accueillant femmes et hommes au sein des mêmes bâtiments, comme l’abbaye Notre-Dame de Fontevraud en 1101 par exemple.
Ca paraît rien, comme ça, mais ce geste n’est pas seulement symbolique: l’Église fait bouger les choses et est bien plus audacieuse que la société civile. Cela inspira d’ailleurs un fameux mot à Michelet: « Dieu changea de sexe, pour ainsi dire ».
(Michelet a dit beaucoup de conneries, faut le savoir)
(mais cette citation illustre à la perfection mon propos, donc je garde!)
Celles (et ceux) qui s’obstinent à voir en la religion catholique le grand méchant de la condition féminine semblent donc sur le mauvais chemin…
Le piège de la galanterie
Depuis le début de cet article, je me rends compte que tout les exemples historiques que j’ai choisis sont à charge contre l' »homme », cet être monstrueux et testiculaire asservissant la « femme », pour son plus grand malheur.
STOP! Comme si la femme n’avait jamais été mise à l’honneur à travers les siècles! Des exemples où la femme est mise en valeur, respectée pour ses actes et non pour son corps, ça devrait bien exister, non?
Non?
Bien sûr que si!
Promenons-nous au XIIe siècle, en plein cœur du Moyen-Age. C’est l’époque de la chevalerie, de la bravoure et de l’amour fleur-bleue. La littérature de l’époque met littéralement la femme sur un piédestal. La femme, c’est cet être qui sent bon, qui a la peau douce et pour laquelle les hommes doivent multiplier les actions courtoises et galantes pour espérer conquérir le cœur.
Ben voilà. Vous voyez bien que vous avez pas toujours été déconsidérée ou maltraitée, les filles!
Sauf que… George Duby n’est pas vraiment de cet avis… George Duby (1919 – 1996), c’est LE spécialiste du Moyen-Age, du genre de ceux qui consacrent toute leur vie pour tenter d’en percer les secrets. Dans son Enquête sur les dames du XIIe siècle, il fait le constat que ce jeu amoureux dont les hommes sont alors si friands n’est qu’un façade. En réalité, la femme est là encore méprisée, réduite à son rôle de procréatrice. L’art de la séduction et de la galanterie relève de la simple tradition, un jeu dont les hommes s’acquittent de bonne grâce pour pimenter leur relation. La galanterie est un piège dont les femmes ont bien du mal à se dépêtrer!
(Mince, je suis déçu, j’y ai presque cru)
Et aujourd’hui?
En fait, la femme a commencé à s’émanciper à partir du moment où elle a pu maîtriser sa fécondité. C’est pas moi qui le dis, mais Simone de Beauvoir.
Reconnaissons à nos dirigeants de ces dernières décennies la mise en place de politiques volontaristes de lutte contre les inégalités. Même si de nombreuses avancées sociales ont permis de donner aux femmes le rôle qui leur est dû dans notre société, le doux rêve d' »égalité » que caressent certaines féministes semble encore bien loin. Pour conclure cet article, laissons la parole à Proust:
Il semble que dans une société égalitaire la politesse disparaîtrait, non, comme on croit, par le défaut de l’éducation, mais parce que, chez les uns disparaîtrait la déférence due au prestige qui doit être imaginaire pour être efficace, et surtout chez les autres l’amabilité qu’on prodigue et qu’on affine quand on sent qu’elle a pour celui qui la reçoit un prix infini, lequel dans un monde fondé sur l’égalité tomberait subitement à rien.
(À la recherche du temps perdu, 1919, tome 8)
Chacun interprétera comme bon lui semblera. Ce qui est sûr, en tout cas, c’est que la question de l’égalité hommes-femmes n’a pas fini de faire couler beaucoup d’encre!
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Brillant !
Je suis une féministe qui en a marre de me battre sur les réseaux sociaux dans des débats stériles.
Qui en a marre de lire tout et n’importe quoi sur des sites « culture » ou « d’actualité » qui ne valent pas grand chose.
Votre article est intéressant, mais ne fait pas beaucoup avancer la cause. Pire, il légitime même d’une certaine façon l’inégalité (« cela a toujours été ainsi, donc il n’y a pas de raisons que ça change »).
Si les Femen se montrent seins nus, c’est parce que c’est a seule façon pour qu’on nous entende…
C’est vrai que Simone de Beauvoir ou Simone Veil se mettaient régulièrement seins nus à la télé…
Extrait des Femmes Savantes, cité dans l’article :
– Veux-tu toute ta vie offenser la grammaire ?
– Qui parle d’offenser grand’mère ni grand’père ? »
(dialogue entre Martine et Bélise, acte II, scène 6)
:p
ou encore :
– J’ai cru jusques ici que c’était l’ignorance
Qui faisait les grands sots, et non pas la science.
– Vous avez cru fort mal, et je vous suis garant,
Qu’un sot savant est sot plus qu’un sot ignorant. »
(dialogue entre Clitandre et Trissotin, acte IV, scène 3)
Quel génie, ce Molière ! 😉
Bon, j’arrête là le hors-sujet pour vus féliciter pour cet excellent article, documenté, drôle, intelligent, rafraichissant.
Bref, parfait.
Eh bien… Voilà qui est très gentil, merci !
Je vais être obligé d’en écrire d’autres, alors ! 😉
Et moi je serai obligée de les lire !
🙂
Merci pour cet article, j’ai adoré !
Moi aussi !
Salut tout le monde !
Super site que je viens de découvrir, avec de bons articles racontés sur un ton décalé.
Merci et continue ce site
Ancien Testament, sont ouvertement misogynes. Comme cet extrait du chapitre I de la première épître aux Corinthiens rédigée par Saint-Paul: « L’homme ne doit pas se couvrir la tête, puisqu’il est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l’homme. »
Petite maladresse non que de citer un verset du nouveau testament comme faisant partie de l ancien.
De plus ce même Paul demandait à la femme d être soumise à son époux.
Un peu d’étude de torah vous serait utile. Les sages d Israël mentionnent toujours la supériorité de la femme par rapport à l homme.
la mekva une fois par moi au momment ou elles etaient les plus faibles et qu’elles auraient le plus besoin de soutiens!!!
L’écriture est parfois mal surveillée, elle manque de style et d’élégance. On croirait lire un mémoire néo-universitaire: verbeux et sans beaucoup de fond.
de très bonnes ressources trouvées en amon sur google