La folle aventure de Cortés, à la conquête de l’empire Aztèque

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Djinnzz

Créateur et rédacteur d' EtaleTaCulture

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23 Réponses

  1. AvatarCate dit :

    Que du bonheur à lire avant de s’endormir!

  2. Avatarp0lka dit :

    Cortès était un beau salopard, comme tout les hommes qui ont conquis des terres inconnues, que ce soit l’Amérique, l’Australie ou l’Afrique.
    Meurtres et pillages sont les uniques points communs entre tous ces gens.

    il y aurait des êtres humains sur Mars, vous pourriez être sûr qu’ils subiraient le même sort.

    Une histoire bien racontée en tout cas.

  3. AvatarOlivier dit :

    Malgré la complexité de l’histoire, vous ne perdez pas le lecteur et allez à l’essentiel. J’ai été moi-même étonné de lire ce long pavé d’une seule traite 😀

  4. AvatarCHT dit :

    J’ai découvert depuis quelques jours ETC, je suis enchanté des récits.
    Quant à Cortés il fait parti des beaux salauds que la planète Terre a pu avoir aux cours des siècles.

  5. AvatarKisha dit :

    Merci pour ce site! Un peu d’humour, beaucoup d’infos! Que du bonheur 😉

    • AvatarDjinnzz dit :

      Merci à vous pour ce gentil message! 🙂

  6. AvatarAndres dit :

    Ouai c’etait vraiment un beau salopard,il a mis le paquet pour sauver sa peau et le tresor . A sa place j’aurai fait pareil.lol. 😈

  7. Avatarmoame dit :

    Superbehistoire digne d’une superproduction holywoodienne !

  8. Avatargerm dit :

    Cortes, un des plus grand stratège que l’histoire est connu …. c’est très résumé sur le site ….. mais les Azteques n’étaient pas des tendres ….. les sacrifices était quotidien Cortes le père de la nation Mexicaine tel qu’on la connait aujourd’hui …. son fils qu’il a eu avec la Malinche est le premier « métis » du Mexique …. arrêter de le prendre pour un salaud …. stratège oui !!!! un peu visionnaire …. les Azteques de l’époque étaient aussi de beau salaud …..

    • AvatarJeanZ dit :

      Donc, si on suit votre logique, du fait que les Azteques aient des coutumes différentes des nôtres, ils méritaient d’etre massacrés? A ce que je sache, les Occidentaux de l’epoque n’avaient rien à leur envier niveau barbarie (parce que faire passer des milliers d’innocents sur le bûcher pour hérésie, c’est à mon avis au moins aussi barbare que d’arracher le coeur des ennemis et de s’en nourrir…)
      Et qu’en bien même… Les Ocidentaux ont-ils le droit de s’arroger le droit de vie ou de mort sur un peuple tout entier? Je ne pense pas, non…
      J’imagine que vous avez le même raisonnement pour les Indiens d’Amerique par exemple?
      Ce colonialisme primaire me donne envie de vomir…

    • AvatarFred dit :

      OUi ils ont le droit car Dieu veut que l’on évangélise les paiens sanguinaires et que l’on mette fin à leurs coutumes barbares !!!

  9. Avatargerm dit :

    Devriez lire le Bernal Diaz del Castillo … et éventuellement les cartes de relations de Cortez …. le résumé ci dessus est un peu léger ….. voir très léger !!!

    • AvatarJeanZ dit :

      N’est-ce pas le principe d’un résumé que d’etre « léger »? 😉
      Pour ma part, j’y ai appris beaucoup de choses sur une période de lhistoire qui ne m’a jamais vraiment passionné.

  10. AvatarPlantin dit :

    Pour ceux que le sujet interesse, je conseille vivement la bande dessinée « Conquistador » avec Kean Dufaux aux commandes du scenario (une référence à lui tout seul).
    L’intrigue se passe a Tenochtitlan, au moment où Cortes commence à tomber en disgrâce face à ce peuple qui le prenait jusqu’à présent pour la réincarnation du Dieu Quetzoatl (ou un truc du genre, j’ai la flemme de vérifier l’orthographe) et où il planifie de dérober une partie de leur trésor.
    C’est une excellente BD!

  11. AvatarCervantès dit :

    J’aurais aimé être là pour massacrer ces paiens sanguinaires moi aussi !!

  12. Avatarbrun christophe dit :

    Merci de ne pas mettre des vulgarités sur votre site web comme selui si: » un beau salaud? ».
    cordialement

    la police des site
    Le commissaire brun

    • Avatara dit :

      merci commissaire je suis un privé et je trouve ça très limite

    • AvatarPapa dit :

      Tu t’es grillé tout seul ! Même avatar = même personne.
      Bien essayé
      :p

  13. Avatarge.f dit :

    ma b

  14. Avatarge.f dit :

    pardon bro je me suis endormi sur le clavier

  15. AvatarLa B.G dit :

    Bonjour , c’est un résumé très enrichissent ( enfin pour ma part ) .

  16. Avatarjustine lolllllllllllllllllllllllllllllllll dit :

    lol je n’aime pas les livres la tablette c’est beaucoup mieux

  17. Avatarheyden dit :

    Je découvre le site par cet article, et honnêtement ce n’est pas très encourageant :-/

    Dans l’imaginaire collectif, le consquitador est au mieux assimilé à un aventurier avide d’or et sans scrupule, au pire à un monstre absolu à l’image des ceux décrits par Las Casas dans sa « Très brève relation de la destruction des Indes ». Et dans l’imaginaire collectif, Cortès représente le consquitador par excellence, vénal et barbare, assasin de tant de peuples et civilisations indigènes.

    Tout cela est bien joli, mais ces raccourcis manichéens ne sont pas des connaissances historiques, juste des simplifications scolaires et journalistiques.

    Etonnamment, il existe assez peu de biographies françaises sur Cortès. On trouve principalement celle de Bartolomé Bennassar, très classique et centré sur la conquête du Mexique, ainsi que celle de Christian Duverger, s’intéressant davantage au Cortès d’avant et après la conquête. La biographie de Duverger à notamment le mérite de nous présenter un Cortès peu classique, en avance sur son temps sur les questions coloniales et esclavagistes.

    Pour Duverger, et pour faire court, Cortès fut bien davantage un défenseur des indiens contre un royaume espagnol uniquement soucieux de revenus immédiats (le coût du récent empire de Charles Quint et de ses guerres européennes). Cortès désirait un minimum de colons au Mexique, et uniquement concentré dans certaines zones, laissant les peuples indigènes poursuivre leur mode de vie. Mieux, Cortès partageait leur coutumes (sa cour mexicaine ressemblait à celle d’un seigneur indigène du pays) et promouvait le métissage entre colons et indigènes (notamment en fondant des familles métisses avant et après la conquête) au lieu d’une relation maître-esclave. Cortès matait les rebellions internes, mais sa principale lutte était contre l’espagne et ses volontés dictatoriales.

    N’étant pas historien, je ne peux juger à quel point Duverger nous présente le véritable Cortès. Les faits qu’il nous présente vont en ce sens, notamment ses décisions et accomplissements après la conquête, mais aussi son enfance dans une famille pauvre et peu considérée qui peut expliquer son manque de considération pour l’espagne, les espagnols et leur institutions, son envie d’aventures lointaines, son besoin de revanche et sa bienveillance envers des indigènes et leurs cultures.

    Tout cela non pour réhabiliter Cortès, mais simplement la vérité historique. Si vous cherchez un aventurier raciste et sans scrupule, je pense que Christophe Colomb, le si sympathique découvreur de l’Amerique dans les livres scolaires, pourra vous étonner à plus d’un titre 😉

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