L’étonnante histoire du mot « boycott »

Djinnzz

Créateur et rédacteur d' EtaleTaCulture

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4 Réponses

  1. Canfti dit :

    S’il devait y avoir UNE seule entreprise à boycotter, pour moi, ce serait Monsanto, la marque la plus impopulaire du monde (c’est eux qui ont produit l’agent orange déversé par hectolitres sur le Vietnam et qui continuent à polluer la planète avec leurs produits pourris)

  2. Papou dit :

    C’est pas juste! Alors que c’était un abruti de premiére, il est quand meme rentrer dans le dictionnaire!

  3. Argent dit :

    Tres instructif

  4. MrV dit :

    C’est bien d’avoir l’esprit « révolutionnaire » dont vous faites allusion au début de l’article. Le boycott est en effet une arme redoutable, encore faut-il que la majorité le pratique spontanément.
    Il ne faut pas non plus se tromper de combat: à quoi sert de boycotter un produit si c’est pour acheter un autre produit équivalent?

    « La fièvre du boycott » comme vous dites n’est pas productive. A mener une action politique (oui, le simple fait de ne pas acheter une marque pour conviction est un acte politique) sans discernement, on tombe facilement dans la branche des « réactionnaires ». On ne s’oppose plus à quelque chose par conviction, mais uniquement par réaction à un changement, même minime, de notre société.

    Vous dites que vous vous êtes soignés depuis, et c’est tant mieux. Je vous préfère comme vous êtes maintenant (du moins, je préfère l’image que vous donnez de vous-même à travers vos textes).